On a validé notre bardage en février 2019. Dans le projet initial, on partait sur du bois brûlé « shou sugi ban ». Technique japonaise de carbonisation du bois qui lui donne sa couleur noire. C’est censé être une technique très performante en terme d’isolation et de durée dans le temps car elle protège bien des UV (principale source de vieillissement du bois), intempéries et insectes. Mais il paraît que les Norvégiens par ex. préfèrent la peinture naturelle, toute aussi résistante. 🤷🏻♀️
Après le retour des devis, on a pu constater que le shou sugi ban coûtait 2 fois plus cher (on passe de 14k à 31k € de bardage). On a donc choisi, dans le même style, l’option bois lasuré noir, qui doit avoir une bonne résistance de toute façon. On a aussi validé le bardage des zones extérieures abritées !
On a pris (avec C.COBOIS à Saint Hilaire de Loulay 85) :
- Bardage bois type B PROTAC Viking epicea couleur charbon (cf. échantillon noir mais avec le motif de l’échantillon de bois gris).
- Bardage bois type A Trémolo en Douglas classe 4 marron, avec motif vibration
Si je veux garder la couleur marron, il faudra que je passe un coup d’huile végétale tous les 5 ans apparemment, sinon ça va griser (mais je suis la seule que ça gêne 😏).






